• Suivant les conseils de Boisseau, et avec l'aide du site de Mehdi Drici, dont je vous conseille la lecture, j'ai fait écrire des albums échos à mes élèves.

    En voici un exemple.

     

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  • Première maîtrise de l'écrit et son frère Apprentissages progressifs de l'écrit à l'école maternelle  de Mireille Brigaudiot sont des ouvrages que je ne quitte plus tant ils me sont utiles au quotidien.

    Je les ai découverts en préparant le cafipemf, et depuis, je les consulte très régulèrement...

    Synthèse de l'éditeur:

    Enseigner le Lire-Ecrire au cycle 2 sans laisser d'enfants au bord du chemin, tel est l'ambition de cet ouvrage. Il s'adresse aux maîtres de CP, de CE1 et de classes spécialisées qui veulent se donner les moyens de faire réussir tous leurs élèves, même ceux qui ont toutes les raisons du monde de rater ce palier décisif de la scolarité. Il est didactique parce qu'il propose des activités sur l'écrit comme pratiques langagières, activités qui passionnent les enfants dans des situations de vraies recherches. Il est pédagogique parce qu'il montre comment des partis pris forts en matière d'apprentissage permettent aux enfants d'entrer sereinement dans le lire-écrire, sans concurrence et sans course aux résultats hâtifs. De très nombreuses situations de " vraie vie de classe " illustrent cet enseignement particulier qui consiste, pour le maître, à " se caler " sur les apprentissages progressifs de chacun de ses élèves.

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  • Ces enfants empêchés de penser de Serge Boimare 

    m'a aidée à prendre conscience de l'origine des comportements de certains de mes élèves. Apprendre à relativiser, quand certains dispositifs ne fonctionnent pas, et que l'élève stagne, c'est aussi important !

     

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  • Je vous recommande le site d'une collègue qui a élaboré un fichier pour la préparation à l'écriture:

    Si vous furetez dans son blog, vous trouverez aussi une page dédiée à la phonologie d'après PHONO de Goigoux. Elle a tout détaillé en séquences et séances.

    Du beau boulot !

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  • Voici un exemple de bilan et de courrier aux parents pour le cycle 1...

     

    Télécharger ex de bilan periode cycle1.pdf

     

    Chers parents,

    Ce bilan vous permet de suivre ce qui a été fait durant cette période et savoir à quoi cela correspondait quant aux nouveaux programmes de l’Education Nationale concernant l’école maternelle. Je reste à votre disposition pour toute explication. Je vous demande de consulter le dossier de votre enfant, de signer la feuille d’émargement dans la casecorrespondant à la période et de rendre le cahier complet après les vacances. Pensez à remplir la page du mois vierge, qui vous est destinée. Si vous associez votre enfant à son remplissage, il sera capable de la présenter à ses camarades : feuilles, fleurs, photos, plumes, emballages cadeaux, prospectus, tickets de sortie etc … ou même un simple dessin de votre enfant (dont vous aurez écrit la signification) illustrera mieux son souvenir du mois écoulé et facilitera son repérage dans le temps. Merci.

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  •  

    Trois temps importants et ritualisés :

     

    Premier moment: les GS sont réunis sur le tapis, au coin regroupement de ma classe (qui n’est pas la leur puisque c’est un temps de décloisonnement) ; ils savent que je vais leur lire ou leur conter une histoire, tirée d’un livre, album, ou de la culture orale.

    Ils sont attentifs et silencieux. C’est le moment de la lecture ou du conte.

    Deuxième moment: les GS ont entendu l’histoire, ils gardent dans leur mémoire des extraits, des  moments forts de cette lecture. Ils ferment les yeux, et lorsqu’ils sont prêts, ils partent chercher leur journal du lecteur (les journaux sont étalés sur différentes tables de 4 places, et chacun doit retrouver le sien). Des crayons de couleur sont à leur disposition. Ils cherchent la page de droite sur laquelle ils vont laisser une trace. Je passe noter le titre de l’histoire entendue, et je laisse chacun dessiner.

    Troisième moment: les GS terminent leur dessin et attendent patiemment leur tour pour me dicter leurs commentaires. Ils savent que je vais leur poser deux questions (inductrices de langage et rassurantes pour les aider à se lancer) :

    - qu’as-tu dessiné ? et répondent : « j’ai dessiné …. »

    - As-tu aimé cette histoire et pourquoi ? et répondent « j’ai aimé/ je n’ai pas aimé parce que … » ( Pour les aider à anticiper et prendre position, je leur demande de dessiner sur la page de gauche,  un bonhomme qui sourit ou pas : ainsi, un enfant qui n’a pas aimé, ne peut pas changer son avis au dernier moment  pour me faire plaisir, ou alors, il doit se justifier).

    Des remarques, des constats :

    Cette activité « tourne » bien. Les enfants sont très contents d’y participer.

    En théorie, aucun enfant ne peut se tromper et se sentir en échec: son dessin est unique, in copiable, car c’est l’expression de son émotion d’écoute d’une histoire.

    J’insiste beaucoup sur les traces personnelles que chaque enfant doit laisser.

    En revanche, j’ai souhaité fixer des critères de réussite pour améliorer leur production :

    -chacun doit faire en dessin sans en parler à ses camarades de table.

    -une fois le dessin réalisé, on esquisse un fond de couleur, pour donner une tonalité au dessin. J’ai un souci d’exigence en matière de coloriage, de remplissage des surfaces au crayon de couleur. Ceci a nécessité un apprentissage, une tenue du crayon (différences entre un trait appuyé et un trait léger, couleurs dégradées, des segmentations entre les personnages, les parties du corps, etc…).

    -chacun est capable de décrire ce qu’il a dessiné, c’est à dire que sa pensée ou son souvenir guide son crayon et non l’inverse. Je dois sentir une intention de communiquer sur ce vécu commun qu’est cette histoire. (on ne dessine pas ce que l’on veut, on fait un dessin qui parle de l’histoire, qui fait penser à un moment de l’histoire, qui transmet une émotion …C’est formellement une trace de lecture.)

    Des écueils :

    Certains enfants n’arrivent pas à libérer leur imaginaire, à se détacher des contraintes habituelles de l’école (« c’est juste ou faux objectivement »), et s’imaginent qu’une seule façon de faire est possible; ils se cachent derrière la copie de la couverture du livre par exemple, ou derrière des illustrations contenues dans le livre.

    Leurs remarques sont purement descriptives, et ils déclarent toujours que l’histoire leur a plu (par peur de décevoir l’adulte s’ils avouaient ne pas avoir apprécié l’histoire).

     

    Des remarques constructives :

    Peu à peu, les enfants apprennent à argumenter pour justifier leur point de vue. Ils quittent la description pure de leur dessin (« j’ai dessiné un lapin, une maison et le soleil »), pour arriver à produire du récit  (« là, tu vois, j’ai dessiné quand le lapin entre dans la maison et il ne sait pas encore que le loup va le manger. »).

    Certains enfants déclarent ne pas apprécier l’histoire car  un détail choque leur morale ( la petite fille est partie de sa maison la nuit, et ce n’est pas bien !).

    Il est important de commencer à solliciter leur expression personnelle dès le plus jeune âge, car il n’existe pas d’autre activité dans ma classe, dans laquelle il leur soit laissé une telle liberté.

    Or, je constate combien il est important de laisser libre court à leur imaginaire : en effet, peu d’entre eux sont capables de se projeter dans une histoire, d’en inventer le décor, tant ils sont imprégnés par les images qu’on leur impose à longueur de temps, dans les dessins animés, les DVD, programmes informatiques et même les illustrations des livres qu’on leur lit.

    Peu d’entre eux ont l’occasion de manipuler des figurines, de construire des décors en légos. Ils ne savent pas jouer ensemble et élaborer des circuits de voiture.

    L’autonomie du jeu, c’est à dire la capacité à inventer leurs propres scénarii, est en perte de vitesse : les enfants préfèrent déconstruire que construire.

    Le journal du lecteur, et d’autres activités de mise en mots de leur imaginaire comme le cahier d’écrivain, sont indispensables si l’on veut que les textes des futurs collégiens aient du sens.

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  • Rien de tel qu'une petite partie de bataille navale pour réviser la notion de quadrillage, de noeud, de verticalité, et horizontalité...

    Donc, en cycle 2, dès la grande section, c'est un jeu formidable pour vérifier les acquisitions gémétriques ci-dessus !

    Voici donc une grille simplissime de jeu collectif:

    constituer 2 équipes dans la classe, qui doivent placer:

    -1 bateau de 6 cases

    -1 bateau de 5 cases

    -2 bateaux de 4 cases

    -2 bateaux de 3 cases

    -2 bateaux de 2 cases

    Durée du jeu: 30 minutes si les équipes sont prêtes et organisées

    Placer une croix dans une case quand on touche un bateau, et on peut rejouer.

    Place un cercle dans une case si elle est vide (des ronds dans l'eau !).

    Ensuite, on peut faire jouer les enfants par 2, grâce à la grille individuelle.

     

    Télécharger bataille navale collective.pdf

     

    Télécharger bataille navale individuelle.pdf

     

    Bon jeu ! Succès garanti dans la cour de récré les jours de pluie !

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  • Mes lectures

    Séquence mathématiques de 4 séances minimum

    Objectif :

    Aider les enfants à prendre conscience de la présence des mathématiques dans leur environnement.

    Créer une « culture mathématique » de la classe

     

    Séance 1:

    Pour préparer la promenade de mardi et avant de commencer à travailler la "matière des mathématiques", nous avons cherché ce qui est mathématique  dans notre cahier d’essai:

    Voici nos réponses :

    -des opérations ( signes et nombres, égalités etc…),

    -de la géométrie ( formes géométriques : carré, cercle, triangle, rectangle…)… de la symétrie,

    -de la numération ( j’ai 2 euros, combien de bonbons vais-je pouvoir acheter ?), la boite de Picbille, de l’argent, les gongs de la cloche du village, les chiffres sur la grande pendule, etc des jeux de dés, des dominos,

    -des mesures (avec la règle, le compas, des pas, des doigts, des objets en tas).

    Maintenant, nous sommes prêts à chausser nos lunettes mathématiques (en fait, nos mains positionnées en forme de jumelles), pour observer dans le paysage, tout ce qui est mathématique.

    Séance 2 :

    Balade mathématique dans le village; promenade de 30 minutes autour de l’école.

    Les enfants prennent en photo ou demandent à la maîtresse de photographier ce qui leur semble mathématique, et essaient de se justifier (si possible).

    Séance 3 :

    1.qu’est ce qui est mathématique? Recherche personnelle écrite dans les cahiers  d’essai.

    Rappel de la balade si besoin en affichant quelques photos de la sortie.

    Mise en route du tri de photos par la remémoration de ce qu’on a vu avec nos lunettes mathématiques.

    Installation des photos au tableau et premières remarques.

    2. Remettre la photo dans son contexte réel

      (en restant dans la classe) par le langage.

    3.Faire émerger un premier tri : je vois … c’est comme …

    Laisser les confrontations et les propositions fuser (prendre des notes sur l'état des connaissances et des représentations initiales des élèves).

     

    Séance 4  et 5 et + (à faire plusieurs fois dans l’année)

     Distinguer ce qui est nombre et numéro (de la plaque d’immatriculation, de la maison)

    Des nombres pour calculer (l’âge de la maison), des nombres pour compter ( 50 m avant le stop) ?

    Repérer les chiffres romains de l’horloge et les chiffres arabes que l’on utilise pour écrire.

    Fonction sociale de certaines formes (les panneaux)

    Faire émerger des questions : combien de ? quelle est la longueur ?

     Mesurer, vérifier, calculer, reproduire, continuer…

    Voir d'autres pratiques identiques à celles-ci sur http://mathsenvie.fr

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  • Afin que chaque enfant soit en mesure d'auto évaluer son travail et s'assure d'avoir écrit toutes les informations nécessaires à la bonne compréhension de son article, j'ai édité une fiche récapitulative "article de journal".

    Cette fiche fait suite à un travail élaboré lors de la semaine de la presse à l'école (cf le site du CLEMI). Nous avions étudié des dépêches AFP, à différents moments d'un même événement, et avions repéré quelles informations, chacune des phrases apportait. ( intro des compléments circonstanciels).

    Télécharger fiche outil article de journal.pdf

     

    D'autres articles de ce blog traitent de la semaine de la presse et de l'édition d'un journal :

    http://carolarcenciel.blogueuse.fr/preparation-de-la-semaine-de-la-presse-et-partenariat-avec-l-equipe-ju-a43167996

    http://carolarcenciel.blogueuse.fr/la-semaine-de-la-presse-en-cycle-2-a3234160

     

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