• Si vous ne connaissez pas Twitter comme réseau social super pédagogique, venez découvrir le super projet de #twictée, et ses productions de #twoutils !

    Une chouette vidéo d' Anne Veghte-Quatravaux, ici, décrit toutes les étapes à la perfection:

    Merci à elle !

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  • Cette année, nous reprenons nos ateliers d'arts visuels avec Mirò.

    Mes séances commencent par une imprégnation progressive des oeuvres de Mirò, et surtout par la lecture de l'album magnifique la magissorcière et le tamafumoir.

    Je projette au TBI, quelques uns des liens que voici.







     

    Ces liens sont hébergés sur notre ENT (la beneyluschool) et les enfants peuvent les revoir à la maison.

    Ensuite, en classe, nous cherchons à collecter un répertoire graphique de l'auteur. Avec un feutre noir, nous prenons des notes graphiques de nos visionnages.

    Arts visuels: Mirò

    Arts visuels: Mirò

    Ensuite, à la peinture, nous nous entrainons à reproduire ces signes.

    Arts visuels: Mirò


    Plus tard, nous travaillerons sur les couleurs de Mirò et nous apprendrons à "écrire en noir" à la Mirò, pour raconter des histoires dans nos productions.

     

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  • Au fait

     

    ... ben voilà, je l'ai terminé ! :)

    J'ai validé mon master 2, conseil et formation en Education, avec la mention Très bien, pour ne rien gâcher à mon bonheur !

    Du coup, cela devrait frissonner à nouveau ici sur ce blog... puisque je vais sans doute retrouver un peu de temps :)

    A bientôt, donc !

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  • Cette année, j'ai décidé d’innover un peu... Grâce à l'application Voice que François Lamoureux a définitivement démocratisé pour son usage si malin de capsules, je me suis lancée !

    Voici donc la présentation d'une matinée de classe....

    Les après-midis ne sont pas calés encore. Les élèves ont besoin de temps pour bien s'approprier tout le matériel de la classe... Les après-midis seront consacrés aux ateliers-recherches pour les exposés, à la correspondance, aux langues vivantes... Tout cela n'étant pas encore stabilisé, je préfère attendre avant d'en parler aux familles !

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  •  

    Un petit aperçu de ma matinée de rentrée !

    A peine arrivée, internet en panne, alors que je prépare mes derniers documents de direction…

    Une maman m’accapare :  « mon fils prendra le bus ce soir, mais je ne sais pas où se trouve l’arrêt de notre village… » « Euh, moi non plus, je ne connais pas tous les patelins du canton ! »

    Entrons en classe avant que la lèvre inférieure du petit nouveau ne s’écroule car je le sens au bord des larmes !

    « Non, je ne veux pas que tu ouvres ton paquet de pochettes plastifiées… Kevin, arrête de maltraiter ton classeur ! »

    Tout à coup, le téléphone sonne : la correspondante du journal local veut venir ce matin, faire une photo des élèves de l’école !  Sans autorisation parentale, pas question !

    Je raccroche. "Bon, on en était où déjà ?"

    Tiens, voilà le livreur qui sonne et qui apporte des colis gigantesques à réceptionner TOUT DE SUITE ! Et le tampon resté dans le bureau à aller chercher impérativement !

    « Non, Kévin, tu n’as pas besoin de pochettes transparentes ce matin ! Soan, pose ces intercalaires ! »

    C’est l’heure de la récré, mes collègues ont apporté le café… oui, mais je dois repartir à la direction !

    "Satané internet, tu vas marcher oui ? Je dois faire remonter le tableau des effectifs avant midi à mon IEN !"

    C’est alors que le second correspondant de la presse locale arrive, et me demande sur un coin de table, le nom des collègues, le nombre d’élèves et l’atmosphère de la rentrée… Chaude la rentrée, chaude !

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  • Bon, voilà, sans regret, nous nous sommes lancés dans le premier marché de cette année.... et quelle belle journée !

    Les parents ont bien participé aussi... Deux mamans ont aidé à l'encadrement, d'autres sont venus en clients, reconnaitre les connaissances des enfants.

    Comme chaque année, de nouvelles surprises de stands ont émergé de la part des enfants; cette année, c'était plutôt: hip hop, fleurs de papier, origamis, bracelets, pâte fimo, dames, cookies, smoothies, basket, rugby, scoubidous, judi, gym, ping pong, engrenages, tricotins et j'en oublie !

    Le plus dur: affronter la frustration des enfants qui auraient envie de participer à plus de stands que ne le permet le temps !

    Au second round, les clients promeneurs ouvrent leur stand, pendant que rangent les premiers.

    Ule marché de connaissances de cette annéene super ambiance, le plaisir de voir un temps autogéré fonctionner... Les enfants se découvrent responsables, très impliquées, fiers de leur succès et épanouis !

    Que des moments impérissables dans leur bagage de souvenirs de l'enfance ! #confiance  #plaisir  #partage #respect

     

    Quelques images:

    le marché de connaissances de cette annéele marché de connaissances de cette année

     

    le marché de connaissances de cette année

     

    le marché de connaissances de cette annéele marché de connaissances de cette annéele marché de connaissances de cette année le marché de connaissances de cette annéele marché de connaissances de cette année

    le marché de connaissances de cette annéele marché de connaissances de cette annéele marché de connaissances de cette annéele marché de connaissances de cette annéele marché de connaissances de cette année

     

     

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  • Judith Cantin, que je ne présente plus, propose ici un panorama de l'évolution de l'apprentissage, à travers cette capsule d'un quart d'heure seulement ! Alors, si vous avez ce temps devant vous, profitez-en !

    Intérets et limites de chacun des courants pédagogiques...

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  • Nous avons souvent des questionnaires à faire remplir à nos aïeux pour faire comprendre comment était la vie dans la première moitié du 20ème siècle. Nos enfants et nos élèves ont beaucoup de mal à se représenter la vie avant l'électricité, les voitures et le confort moderne... Alors voici le témoignage de ma propre grand-mère, retranscrit par mon père, que je ne voudrais pas perdre ! Alors, je le partage ici, pour poser un peu de son histoire !

    Maminou est née le 27 Juillet 1921 à ORGUEIL, un petit village du Tarn et Garonne, près de Montauban. C'était la troisième enfant d'une famille qui en comptait 7. Sa maman a accouché à la maison; à cette époque les femmes n'allaient pas à la maternité pour mettre au monde les bébés. Une de ses sœurs est morte de la diphtérie quand elle était petite, car le vaccin n'existait pas.

    Elle n'allait pas à l'école de son village, mais dans une école privée de filles, située à Monclar de Quercy où elle était pensionnaire avec sa sœur aînée. Son oncle y était curé. Elle ne revenait chez elle que pour les vacances. Ses parents n'avaient pas d'automobile, ils venaient la chercher et la ramenaient avec une "jardinière", sorte de calèche attelée à un cheval.

    Quand elle avait 8-9 ans, pendant les récréations elle jouait à la marelle, à chat perché ou encore aux osselets, mais avec de vrais petits os que l'on pouvait obtenir auprès du boucher.

    A cette époque, il n'y avait pas de télévision, pas de four à micro ondes, ni de four électrique. Sa maman cuisait les aliments dans le four ou sur les feux de la cuisinière à bois ou avec la braise de la cheminée.

    Les tâches ménagères prenaient beaucoup de temps, il fallait aller chercher l'eau dans des seaux ou des brocs à la pompe située sur la place du village. Il n'y avait pas de machine à laver le linge, on faisait la lessive au lavoir communal. Il n'y avait pas non plus de lave vaisselle. Le chauffage central n'existait pas chez Maminou, on chauffait la grande cuisine avec la cuisinière ou la cheminée, donc les chambres étaient froides. Mais on chauffait les lits en hiver avec des "moines", sorte d'armature qui permettait de soulever les draps et dans laquelle sa maman accrochait une cassolette de braises pour les chauffer. Il fallait être très prudent pour ne pas roussir les draps ou mettre le feu au lit ! Mais qu'est que c'était agréable de se glisser dans un lit bien chaud après s'être déshabillé dans une pièce très froide...

    L'évènement important dont elle se souvient, c'est l'inondation de mars 1930. Le village est au bord du Tarn, mais en hauteur par rapport à la rivière. Seuls les riverains du Tarn ont étés sinistrés et ont du être accueillis par les habitants du haut bourg. A Reyniés, village voisin à 3 km, la quasi totalité des maisons ont été détruites par l'inondation. Parfois les gens avaient tout perdu et il y a eu aussi des victimes, des noyés... Orgueil, c'est un village de campagne, les parents de Maminou étaient agriculteurs, ils avaient des vignes, des vaches dont ils vendaient le lait, ils cultivaient des céréales, c'est ce qu'on appelle la polyculture-élevage. Et pour leur alimentation personnelle, ils avaient un potager et un verger pour les légumes et les fruits, des lapins et des volailles de basse cour ainsi qu'un ou deux cochons.

    Chez Maminou, on n'a jamais souffert de la faim, même pendant la guerre de 1939-45. Seule la viande de bœuf était achetée au boucher, mais on n'en mangeait que rarement. Elle se souvient que sa maman était une excellente cuisinière.

     

    En complément, il est possible d'aller écouter les playlists sur l'école vers 1920 (menus à gauche)

    Au village dans les années 1940

     

     

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  • ... Ben oui, mes nouveautés cette année, c'est aussi cet enseignement à des élèves de primaire de CM qui sont à leur 4ème et 5ème année d'apprentissage de l'espagnol !

    Alors, je dois particulièrement préparer ce niveau là que je découvre surtout si je ne veux pas les planter en 6ème avec un niveau trop faible. J'utilise beaucoup le support chanté pour leur mettre cette langue dans l'oreille et les conditionner (en leur donnant des intuitions).

    Par exemple, nous avons croisé de nombreux verbes au présent qui diphtonguent. Il est donc temps de le formaliser.
    Avec la version scolaire de Me gustas de Manu Chao: (sans référence à la mala vida bien entendu !), nous allons formaliser l'expression des goûts...

    Bref, je laisse ici mes traces écrites, dont j'ai pioché ici et là quelques références, toujours remises dans le contexte dans lequel j'enseigne actuellement.

    Dire, lire l'heure en espagnol.pdf

    le présent de certains verbes irréguliers espagnol.pdf

    Voici les principaux pronoms interrogatifs.pdf

    Comment exprimer ses goûts et sentiments en espagnol.pdf

    Paroles Me Gustas Tú scolaire.pdf

     

     

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